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Plus de 5 000 personnes au Forum de l’emploi

S’il y a eu un peu moins de monde que l’an passé, le salon, qui a fermé ses portes samedi 21 avril, reste un espace unique entre demandeurs d’emploi et recruteurs.
Écrit le 25 Avril 2018

Le Forum de l’emploi et de la formation a pleinement joué son rôle de « boîtes à outils ». Organisé par Les Nouvelles calédoniennes, le salon, qui a fermé ses portes samedi, a permis d’offrir à des milliers de demandeurs d’emploi ou de formation, de salariés souhaitant se reconvertir ou de cadres « tout ce qu’il fallait pour trouver un emploi, se préparer à en chercher un ou récolter les premiers contacts avec des recruteurs », commente Philippe Texier, directeur du marketing, de la diffusion et de la promotion des Nouvelles calédoniennes.

« Démarche active »

Côté bilan, le Forum de l’emploi et de la formation a attiré, vendredi et samedi, plus de 5 000 personnes. Un chiffre en légère baisse par rapport à l’année dernière. Mais le plus important n’est pas là. « Les personnes qui viennent au salon doivent être dans un état d’esprit de démarche active. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas, remarque Philippe Texier. Nous nous apercevons également que certaines personnes ne sont pas toujours armées pour chercher un emploi. » Cette septième édition a été, par ailleurs, marquée par un plus grand nombre de visiteurs moins bien qualifiés que l’an dernier. « Nous recevons souvent des personnes jeunes avec de petites qualifications et, cette année, quelques cadres ». Un espace leur était d’ailleurs consacré. Spécifiquement dédié à leur recrutement, en partenariat avec Aboro Consulting, l’espace « confidentiel » proposait aux cadres ou aux agents de maîtrise de rencontrer des consultants pour un premier entretien de « préqualification » avant de se positionner sur les postes à responsabilité du pays. Le Forum de l’emploi et de la formation est, enfin, un moment privilégié pour « les entreprises qui réalisent une opération de communication, elles peuvent ainsi montrer qu’il y a toujours des créations d’emploi malgré la conjoncture », poursuit Philippe Texier.

 

Jean-Alexis Gallien-Lamarche